Le livre fut identifié comme l’un des vecteurs, et la lettre d'info QWERTZ (les six premières lettres du clavier romand), qui a résulté de ces réflexions, illustre bien la stratégie 360° désirée, offrant en effet non seulement du texte dans les boîtes mail et sur le web, mais aussi des entretiens en podcast et des vidéos dans le Play RTS. QWERTZ vient de souffler sa première bougie tout début novembre, symboliquement pendant le Salon du livre de Genève, qui a eu lieu cette année dans une version décentralisée compatible avec la situation sanitaire.
Les deux responsables de publication de la lettre d'info, Jean-Marie Felix et Nicolas Julliard, évoquent les effets de ce tournant numérique sur leur thématique de cœur. La première observation a trait à l’agilité : en une année, l’interface de QWERTZ a beaucoup évolué ainsi que les rubriques qui la composent. Les aménagements à opérer sont naturellement plus aisés sur un tel support que dans une émission diffusée sur les ondes.
S'ouvrir à d'autres publics
La seconde observation concerne les potentiels : le numérique ouvre de nouvelles possibilités de développement et de réactivité importantes. Enfin, un aspect sur lequel Jean-Marie et Nicolas s’accordent : le travail et l’exigence journalistiques qui n’ont pas été remis en question par ce changement de vecteur. QWERTZ a rapidement rassemblé le public amateur de littérature sur les ondes. Son objectif consiste maintenant à s’ouvrir à d’autres publics. Une ambition partagée par tous les contenus estampillés RTS Culture.
Nicolas Bastard (RTS)
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